Je vous partage très peu de recettes carnées en ce moment, tout simplement car j’en consomme beaucoup moins qu’avant, il est bien fini le temps où pas un repas ne pouvait se faire sans viande ! Mais de temps en temps, je ne dis pas non à une bonne petite recette, surtout lorsque le morceau provient de la ferme où je me fournis. C’est ainsi que j’avais congelé ces tendrons de veau il y a quelque temps et que j’ai pris plaisir à les cuisiner dans cette version sucrée salée, accompagnés de ces bonnes petites févettes, je me suis régalée 😋.
En ce moment, j’alterne entre petits plats asiatiques et classiques français … Il faut dire que le temps est propice et invite au réconfort de ces bons plats d’hiver. J’ai d’ailleurs ensuite profité du bouillon pour nous concocter une soupe poireaux et petites pâtes, un régal, rien ne se perd 😋, cela eut été dommage ! Pour en revenir à la terrine, n’importe quelle viande à pot-au-feu fera l’affaire, que ce soit gîte, collier ou encore paleron. J’avais un beau morceau de paleron au congélateur , c’est donc ce que j’ai choisi.
Les nouilles et le riz sont les deux ingrédients de base de la cuisine vietnamienne. Il est difficile de faire un repas sans, on les retrouve dans les salades, les soupes, ou encore bien évidemment en accompagnement. Le nuoc-mâm est omniprésent et on démarre la journée par une soupe. Mais les hôtels et homestays ont toutefois su s’adapter à la clientèle européenne et propose une alternative bien gourmande le matin, des pancakes …. souvent accompagnés de bananes, on est calé pour entamer une journée de balades et découvertes !! Le Vietnam est un pays très contrasté, entre le nord, le centre et le sud, des paysages superbes et une population très accueillante et très gentille. Voilà donc un petit moment que j’avais envie de retrouver les saveurs vietnamiennes 😋, mais il m’a fallu un peu de temps car il est vrai qu’après plus d’un mois de cuisine vietnamienne et cambodgienne, j’avais envie d’autre chose ! Je vais vous emmener ce mois-ci faire quelques découvertes, et ce un peu grâce à mon amie Jackie, du bien joli et très gourmand blog La cuisine de Jackie, marraine ce mois-ci de la nouvelle édition de Compile moi un Menu, CMUM, dont les organisatrices sont Nath–Une cuisine pour Voozenoo & Viviane –Quoi qu’on mange ?. Un thème qui lui est cher puisqu’elle est née au Vietnam, et une excellente façon de nous faire découvrir un peu plus cette belle cuisine.
Je vous propose en première recette des nouilles sautées, incontournables au Vietnam, accompagnées ici de crevettes, une recette toute simple mais vraiment délicieuse. J’ai ramené dans mes bagages du saté que l’on retrouve assez souvent dans cette cuisine, utilisé aussi bien pour les viandes que pour les poissons. Les herbes sont aussi très présentes, j’ai d’ailleurs découvert là-bas la menthe vietnamienne, différente en goût que celle que l’on trouve par ici, et impossible à trouver, du moins chez moi. Il va falloir s’adapter 😉. Une dernière précision, j’ai trouvé cette recette dans un très joli livre que j’avais dans ma bibliothèque, Paris Hanoi, recettes du Vietnam, et j’ai adapté les quantités pour 2 personnes.
S’il est une période où les moules sont au top, c’est bien maintenant, elles sont charnues, goûteuses, bref il faut en profiter ! Je vous propose donc aujourd’hui une petite recette qui a ravi nos papilles, toute simple mais très savoureuse, je ne vous apprendrai pas que les bons produits font toute la différence 😉. Si vous ne trouvez pas d’épinards frais, optez pour des surgelés, les épinards en branche de chez Picard par exemple, ou encore des feuilles de blette. Je les ai présentées en cassolettes individuelles, mais un grand plat conviendra parfaitement. Je profite de cet article pour mettre le blog en pause et je vous retrouve vers la mi décembre.
Le maquereau est un poisson gras doté de nombreux bénéfices santé. Il constitue une excellente source d’oméga 3, des acides gras polyinsaturés favorisant le bon fonctionnement du système cardiovasculaire et il offre également d’excellentes teneurs en vitamines du groupe B, vitamine D, sélénium et fer. Il a tout bon ce poisson, et j’en consomme assez régulièrement. Il a en plus l’avantage d’être peu onéreux, ce qui, avec l’inflation galopante actuelle, n’est pas plus mal !! Je suis donc toujours à la recherche de nouvelles recettes et lorsque j’ai trouvé ces keftas dans le HS Saveurs de cet été, je n’ai pas hésité longtemps avant de tester la recette. Par rapport à la recette initiale, j’ai opté pour de la coriandre à la place du persil dans le façonnage des keftas, et rajouté un oeuf.
Cela faisait longtemps que je ne vous avais pas proposé un bon petit plat mijoté à la viande ! Et oui, on rentre à pas feutré dans la saison morose (du moins pour moi) où l’on se réconforte avec de belles douceurs mais également de bons mijotés. Je vous avoue que cette recette attendait dans mes brouillons depuis un petit moment, je ne l’ai pas cuisinée ces derniers temps, la météo étant toujours au très beau fixe chez moi avec des températures avoisinant les 25 à 28 degrés, mais je me doute que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne … Lorsque je l’ai faite, j’avais acheté dans un resto/boutique portugais près de chez ma fille à Bordeaux, un beau chouriço qui me faisait bien envie. Il est différent du chorizo espagnol que l’on trouve très facilement maintenant en France, je l’avais découvert il y a quelques années lors de vacances à Lisbonne, et je n’hésite pas à en acheter dès que je peux mettre la main dessus 😉. J’ai trouvé cette recette dans un joli livre qui s’intitule Portugal, balades gourmandes, recettes et art de vivre. Il regorge de belles photos et de recettes plus appétissantes les unes que les autres !
Après quelques jours dans le sud-est, me voilà de retour avec une recette qui illustre bien la cuisine provençale. J’ai toujours de la farine de pois chiche dans mes placards que je réserve souvent à la confection de la cecina, cette belle galette de pois chiche découverte en Toscane (recette ici), c’est aussi la base de la socca niçoise qui est tout aussi délicieuse, ici accompagnée d’une caponata, bref une belle recette méditerranéenne !! J’ai trouvé cette recette dans un magazine Régal, je l’ai adaptée à ce que j’avais en stock et fait cuire la socca dans un moule à tarte bien huilé, afin de faciliter le démoulage (même si le bord s’est légèrement fendillé lorsque je l’ai retournée 😕) …
Le maigre est un poisson que je n’avais jamais cuisiné jusqu’à un jour de l’année dernière où en allant faire mes petites emplettes au marché aux poissons de Capbreton, une charmante jeune femme m’en proposait gratuitement, il ne fait pas partie des poissons auxquels on pense spontanément !! Elle a eu raison car cela m’a donné l’occasion de découvrir un poisson à la chair très fine et savoureuse, proche du bar mais bien moins onéreux, et qui peut finalement se cuisiner de nombreuses façons, poêlé, grillé, froid en salade, cuit en papillote ou tout simplement à la vapeur. J’ai choisi ici une cuisson au four, et nous avons beaucoup apprécié cette cuisson toute simple, quand un poisson est bon, nul besoin de se compliquer la vie 😉 !!
Un petit mot quand même sur le marché aux poissons de Capbreton. Une des particularités de ce port est que les marins pêcheurs peuvent vendre directement le fruit de leur pêche sans passer par une criée, en fixant leurs propres prix. Cette dérogation à la règle communément appliquée provient d’un décret du XVIIe siècle établi par Jean-Baptiste Colbert, ministre de Louis XIV. On trouve donc toute l’année sur les étals du poisson de saison, pêché localement et d’une fraîcheur inégalable.
Voilà un petit moment que j’avais envie de préparer ce tajine que j’avais repéré chez ma copine Béa du bien joli blog Les petits plats de Béa. Il faut dire que sa cuisine m’inspire beaucoup, elle aime autant les voyages que les voyages culinaires, tout comme moi, avec une cuisine haute en couleurs et savoureuse. J’ai un peu revu sa recette en y faisant quelques ajouts, mais l’idée principale est là, de belles ailes de raie à l’inspiration marocaine. Et comme dans tout tajine, les saveurs se mélangent harmonieusement pour un résultat absolument délicieux. Si vous n’avez pas de plat à tajine (celui sur la photo vient du Maroc) et que vous avez envie de cuisiner avec, je vous invite à en découvrir une belle sélection chez Cuisineaddict, aussi esthétiques que pratiques, en céramique ou en fonte. Et maintenant, place à la recette !
Voilà une petite recette qui aurait pu parfaitement convenir pour Pâques. Qu’à cela ne tienne, chez moi, l’agneau a sa place toute l’année et je ne sais résister à une recette qui me fait de l’oeil. Celle-ci est donc adaptée d’une recette trouvée dans le dernier Saveurs qui mettait la souris d’agneau à l’honneur, adaptée car j’en ai changé le mode de cuisson, et supprimé certains ingrédients. Dans le magazine, l’agneau cuit sur une plaque à rôtir ou un plat allant au four, j’ai plutôt choisi d’utiliser ma cocotte roaster (vous pouvez la retrouverici et profiter de 10% avec mon code « lesfillesatable ») dont la cuisson s’avère parfaite dans ce cas, pour une cuisson dorée et moelleuse. C’est simple et délicieux, le sirop d’orgeat amène une belle note sucrée à l’ensemble, bref, nous nous sommes régalés !!