En ce dimanche bien pluvieux, j’ai eu envie d’un peu de réconfort pour faire passer la morosité ambiante. Difficile d’aller se balader avec une telle météo, pas grand-chose à faire dans la maison, et quand je m’ennuie, je m’occupe en cuisine 😉. J’ai toujours plein de blancs d’oeufs au congélateur, alors quoi de mieux que des petits financiers, croustillants à l’extérieur et moelleux dedans, c’est bon et ça se laisse dévorer … Ceux-ci sont aux pistaches, j’en ai toujours en stock dans mes placards. Je vous laisse avec la recette, les financiers, tout le monde connait !
Comme le temps passe vite, je vous avais pourtant promis de me rattraper il y a déjà plus de dix jours ! Mais voilà, il y a la petite famille qui vient vous voir, avec bonheur, puis les vilains virus de l’hiver qui se rappellent à votre bon souvenir (et oui, les gestes barrières, on les a vite oublié …), puis on décide de s’attaquer à la maison, on dérange, on trie, on rerange, et tout cela prend du temps, beaucoup de temps. Et puis les petites recettes que l’on a envie de partager, mais il faut les faire, imaginer ensuite comment les photographier pour les mettre en valeur afin de vous donner envie à vous aussi, mettre tout ça sur l’ordi, retoucher (ou pas 🤔) les photos, écrire l’article, mettre tout ça en page, puis enfin le publier. Et ne pas oublier les Instagram et autre page facebook qui sont devenus des indispensables pour vous donner un peu plus de visibilité ! Bref, tout cela prend du temps, beaucoup de temps …. Et ce ne sont pas mes copinautes qui vous diront le contraire, chez lesquelles je ne vais pas souvent non plus hélas ces derniers temps. Alors l’envie vous prend soudain de tout simplement prendre votre temps, d’aller à votre rythme, après tout, le partage, c’est tout simplement l’envie de partager, sans autre satisfaction que de voir parfois votre petite recette se retrouver un jour sur une autre table, et de régaler d’autres convives que les vôtres. C’est aussi ça le bonheur, le bonheur du partage 😊.
Alors aujourd’hui, je vous retrouve pour vous partager cette petite douceur qui nous a régalée, servie avec gourmandise par Nadine du très joli blog Quand Nad cuisine … . J’ai fait quelques petites modifications, n’hésitez pas à cliquer sur le lien pour aller sur son blog et voir l’original.
Je vous retrouve en ce début d’année avec une galette réalisée l’an dernier, la maison a retrouvé son calme, et moi le chemin du blog 😊 … J’en profite pour vous souhaiter à toutes et tous une très belle année 2024 et je tiens à remercier les très nombreux visiteurs qui auront trouvé en ces périodes de fêtes quelques petites recettes gourmandes sur le blog. Quant à cette recette de galette, je l’avais dénichée dans un Femme Actuelle, le journal présentant un dossier sur les galettes de certains pâtissiers. J’ai simplement déchiré la page avec la recette et je ne me souviens plus quel pâtissier l’avait proposée, mais ce fût un régal. Il préconise des cerises griottes au sirop, j’ai choisi des cerises amarena, car non seulement je les adore, mais j’en ai en plus toujours un bocal dans mes placards. Je les achète souvent à Bordeaux dans une boutique spécialisée en pâtisserie, mais on les trouve tout aussi facilement en ligne. Vous pouvez bien sûr utiliser des cerises au sirop si vous préférez. J’avais fait un récapitulatif de mes différentes galettes et brioches des rois l’an dernier, voici le lien ( ici ).
J’ai fait cette salade avec de belles petites betteraves de couleurs différentes, dont la chioggia, très jolie lorsqu’elle est consommée crue (comme dans cette recette ici) mais qui en cuisant perd ses belles couleurs. Malgré tout, j’ai pensé que ma salade illustrerait parfaitement Octobre rose, sans compter qu’elle est délicieuse 😉. J’ai fait cuire mes betteraves à la vapeur douce dans mon vitaliseur, si vous avez l’occasion de les faire cuire ainsi, je vous recommande vraiment ce mode de cuisson, une cuisson à la vapeur d’eau qui n’excède pas 95°C. Cette cuisson basse température permet de conserver un maximum de vitamines ainsi que les valeurs nutritives des aliments, que ce soit des légumes, du poisson, de la viande, les oeufs, bref la liste n’est pas exhaustive ! Et les saveurs sont vraiment au rendez-vous …
Je pensais en avoir fini avec les figues, mais il me restait une petite recette à vous partager, pour un petit matin gourmand, ou encore un bon petit goûter … au choix, ou les deux ! Ici, ils sont bien vite partis. Alors si vous avez la chance de trouver encore quelques figues, ces petites douceurs pourraient vous plaire 😋, à condition de les aimer bien évidemment. Mais comme les fruits sont interchangeables, on peut en envisager d’autres, de saison toujours !
Lorsque mon amie Jackie (La cuisine de Jackie) a publié il y a quelques jours un fondant au yaourt grec et mirabelles qu’elle avait elle-même vu chez Béa (Les petits plats de Béa), et que j’avais raté au mois d’août pour cause d’absence, j’ai été ravie qu’elle le fasse car il me semblait délicieux. Ne trouvant plus hélas de mirabelles, je me suis dit que ce pourrait aussi être bon avec d’autres prunes ou encore des figues, surtout qu’il me fallait utiliser les dernières du jardin, et que je n’avais pas envie de les congeler. Comme j’en avais un peu trop pour toutes les mettre dans le gâteau, j’ai choisi de faire avec celles qui restaient une petite compotée aux épices pour l’accompagner. Je n’ai pas regretté, nous nous sommes régalés, et ce fondant est délicieusement …. fondant, léger et bien fruité !
Je termine ma trilogie figues avec cette recette de tartelette mêlant figues, brousse, pistaches et miel, ensuite, promis, plus de figues, on attendra l’année prochaine, mais je ne pouvais pas passer à côté de cette jolie recette découverte dans le magazine Gazelle. Je me la suis quand même appropriée en rajoutant en fond de tarte quelques cuillerées de ma délicieuse compotée de figues (recette ici), on aime les figues ou on ne les aime pas 😉, et ce fut un régal entre le mélange cru / cuit des figues, le croquant des éclats de pistaches, la fraîcheur de la brousse et la douceur du miel. Je n’ai réalisé que quatre tartelettes, mais la recette étant prévue pour 6 personnes, j’ai eu trop de pâte que j’ai congelée pour un usage ultérieur. Je vous donne donc dans le déroulé de la recette les quantités de pâte pour 6 tartelettes (au moins) mais pour le reste j’ai adapté les quantités à 4 tartelettes.
Le temps passe si vite que la saison des figues va bientôt toucher à sa fin et je n’aurai pas eu le temps de partager les quelques recettes dont je me suis régalée cette année, à commencer par celle-ci. J’ai repris l’idée de ma première cajasse quercynoise aux cerises, que j’ai ensuite déclinée en plusieurs versions, aux mirabelles puis aux nectarines. Celle-ci est toujours aussi délicieuse, je lui ai rajoutée quelques pistaches caramélisées pour la touche de croquant et un peu de fève tonka, tout simplement parce que je trouve qu’elle s’accorde bien aux figues, mais c’est bien évidemment optionnel !
Je ne suis pas très motivée cet été, mais quand une recette fait l’unanimité, je suis obligée de vous la partager ! Et là, je dois dire que nous nous sommes tous régalés 😋. Pas difficile à réaliser, rapide, un maximum de saveurs entre épices et herbes, et qui plus est une recette de plus avec ces bonnes courgettes que je choisis toujours petites et fermes, c’est ainsi que je les préfère. C’est une recette dénichée dans le HS Saveurs spécial Méditerranée de cet été, il est rempli de belles recettes dont je m’inspire assez librement, changeant bien souvent les herbes ou les épices, ici j’ai troqué le basilic et le persil pour de la coriandre fraîche, je trouvais qu’elle serait plus en accord avec les épices utilisées, à chacun de voir selon ses goûts … Et j’ai également choisi de préparer la graine à ma façon, on ne change pas les bonnes habitudes 😉. Si comme moi vous aimez ce style de salade, j’en ai une autre sur le blog qui est également délicieuse !
Voilà ma dernière recette de cerises, une belle gourmandise et pourtant si simple ! Je les trouve sucrées comme il faut cette année et je m’en régale 😛. Je pourrais toutes les dévorées ainsi mais je me suis raisonnée car j’avais vraiment envie d’un crumble avant qu’elles ne disparaissent des étals. Je n’ai rajouté ni glace ni crème, il faut savoir rester raisonnable, mais libre à chacun de doser sa gourmandise !! J’ai en revanche rajouté des pistaches grossièrement coupées au couteau dans le crumble pour un petit côté croquant, ainsi qu’une fève tonka râpée, j’adore ça, on ne se refait pas ….
Les filles, à table ! 